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Albert Becker, Luxembourg |
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6.8.1891 |
Herr Redakteur!
Mit Recht machen Sie jetzt zur Zeit der Examina durch Ihr viel gelesenes Blatt bekannt, welche Resultate unsere studierenden Landeskinder auf den Hochschulen erhielten. - Ehre, wem Ehre gebührt! - In Nr. 215 des ‚Wort' teilen Sie Ihren Lesern mit, welch schöne Noten unsere Löwener Studenten sich eroberten. In dieser Nachricht findet sich jedoch ein Irrtum, den ich zur Steuer der Wahrheit und zur Ehre unseres Athenäums hiermit berichtigen will. Es heißt in diesem Referat: „Herr Albert Becker von hier hat das vorletzte Ingenieurexamen mit bestem Erfolg bestanden." - Die ganze Wahrheit ist diese: Von den 40 Schülern, die sich im verflossenen Schuljahr auf das schwierige vorletzte Ingenieurexamen vorbereitet hatten, haben nur 6 die Prüfung mitzumachen sich getraut. Von diesen erhielt der frühere Student unseres Athenäums, Herr Albert Becker den 1. Platz mit der Note „Auszeichnung". Nur drei Punkte fehlten ihm zur Erreichung einer „großen Auszeichnung". Ein Freund unseres Athenäums.
(LW: 7.8.1891) |
11.1892 |
Herr Albert Becker aus Luxemburg hat das letzte Ingenieur-Examen mit Auszeichnung bestanden.
(OMZ: 15.11.1892) |
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1.3.1904 |
La L. P. apprend que (...) M. l’ingénieur Becker retournera en Russie, le 1er mars prochain, pour reprendre la direction des hauts-fourneaux de Michega.
LIL: 24.2.1904) |
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1.3.1904 |
Luxemburger im Auslande. (...) - Hr. Ingenieur Albert Becker von hier begibt sich
am 1. März wieder nach Rußland, um die Leitung der Hochöfen in Michega bei Toula zu übernehmen.
(BBZ: 25.2.1904) |
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4.1904 |
Becker A., Ingenieur, Alexine-Mychega, Gouv. Toula, Zentral-Russland |
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? - 1908 - 1920 (?) |
Albert Becker, ingénieur, directeur général luxembourgeois, de Akhverdoff et Cie |
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24.9.1920 |
Décès de l’ingénieur Albert Becker dans une prison bolchevique du Caucase. |
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1920 - 1921 |
Luxemburger im Ausland. - Am 24. September starb in einem bolschewistischen Gefängnis des Kaukasus unser Landsmann Herr Albert Becker, Ingenieur, Generaldirektor der „Société Akhverdoff des Pétroles de Grosnyl (Kaukasus)". Die Nachricht ist vor einigen Tagen erst von dem französischen Konsulat in Tiflis bestätigt worden. Albert Becker, von seinen zahlreichen Freunden „Titt" benannt, hatte das Alter vom 50 Jahren erreicht. Er ist Stadtluxemburger.
(OMZ: 6.1.1921) |
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1920 -1921 |
Mort de Titt Becker.
Il y a une quinzaine de jours que nous apprenions la triste nouvelle de la mort de notre Compatriote Albert Becker, ingénieur, directeur général de la société Akhverdoff des Pétroles de Grosny (société anversoise). Nous espérions que cette nouvelle serait démentie ; hélas le consulat français de Tiflis vient de confirmer la mort de Becker. Albert Becker, qui en 1919 était revenu dans son pays natal pour y passer quelques mois, retourna à son poste de Grosny (Caucase du Nord) déjà on mains des bolchéviki russes, c'est là qu'il a été pillé et déjà malade, jeté en prison pour y mourir de faim. Sa dépouille mortelle a été jetée dans la fosse commune. Sa mort remonte au 14 septembre 1920. Albert Becker, Titt pour ses nombreux ami, âgé de 50 ans, est un enfant de la ville de Luxembourg, fils du feu spirituel rédacteur Becker et frère d'Emile Becker, commis de la poste ambulante, décédé il y a quelques années et bien connu de tous les gymnastes luxembourgeois. Titt Becker compte au nombre des grands Luxembourgeois qui se sont expatriés pour faire honneur à leur petite patrie. Ingénieur d'élite, fils de ses œuvres, il est mort à son poste, victime du devoir. Bon fils, excellent frère, altruiste consommé, il ne vivait de longues années que pour les siens auxquels il adoucissait les derniers jours. Seul survivant de sa famille, ses moyens lui auraient permis de jouir d'un repos bien mérité. Malgré le danger menaçant, Becker, enfant du travail, retourne au Caucase, confiant dans son étoile et clans l'équité bolchéviste. Hélas ! sa confiance aveugle dans la justice humaine a reçu la pire des déceptions. Honneur à sa mémoire. (…)
A. K.
(LW: 3.1.1921) |
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7.1921 |
En faveur de la Ligue Nationale Luxembourgeoise contre la Tuberculose
(...) on porte à notre connaissance que M. Albert Becker, ingénieur-gérant de la Société Akhverdoff et Cie à Grosny. Caucase, Russie, a légué toute sa fortune à la même ligue. Cette fortune comprend avant tout un compte actif de 356.000 francs au « Crédit National Industriel » à Anvers, des comptes actifs dans les banques de Grosny et des terrains ayant appartenu à M. Becker dans la même ville. Sur le compte du « Crédit National Industriel » il y a opposition pour 50.000 francs du chef d’une créance d’un ingénieur de Bruxelles. La succession comprend en outre comme legs particuliers : deux fois 25.000 et une fois 40.000 francs : la dernière somme semblant cependant ne pas devoir être payé pour les raisons suivantes : Ces 40.000 fr. sont laissés à la ménagère de M. Becker, native de Stari-Drostengoff, Livonie : or cette personne paraît avoir joué un rôle assez mal défini lors de la mort de M. Albert Becker.
(LIL: 16.7.1921)
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