(France) |
Historique - Geschichtlicher Überblick |
1875 | Le 4.4. et le 20.7.1875, MM. Jahiet, Gorand, Lamotte et Cie, maîtres de forges à Ottange, demandèrent l'autorisation de faire des recherches dans le second îlot émergé, situé près d'Avril. Ces recherches consistèrent en 2 puits. Un autre sondage, situé plus à l'ouest, trouva le gîte rejeté à plus de 100 m de profondeur. Le 20.9.1875 MM. Jahiet, Gorand, Lamotte et Cie produisirent une demande en concession s'étendant sur les territoires de Trieux et d'Avril à l'appui de leurs travaux. Renouvellement de leur demande pour la concession le 23 mars 1881. Ceux-ci obtinrent, le 1er septembre 1883, la concession du « Bois d'Avril » (432 ha), devenue depuis la propriété de MM. de Wendel et Cie, vendue à MM. de Wendel. (Source: Étude complète du bassin ferrifère de Briey et de la formation ferrugineuse lorraine : les mines & usines au XXe siècle, Francis Laur, 1901) |
LA DÉCOUVERTE DE BRIE La Roche-sous-Montigny, le 11 mars 1898 (Par Cons-la-Granville) (M.-et-M.). Monsieur Francis Laur, J'ai lu avec grand intérêt l'article patriotique que vous avez publié dans votre estimé journal du 3 février dernier, au sujet de la note présentée à l'Académie des Sciences par notre distingué compatriote M. G. Rolland, ingénieur en chef des mines, sur le nouveau bassin minier de Briey, appelé par lui bassin d'entre Moselle-et-Meuse. Le pays peut, en effet, se féliciter de ce que de hardis chercheurs soient venus lui apporter 22.000 hectares de belles couches de mines de fer et porter ainsi le total de la surface minière reconnue à 54.000 hectares, tandis que le bassin Lorrain qui nous a été arraché en 1870 ne comporte que 40.000 hectares au maximum. Permettez-moi cependant de fixer par la présente un point historique de ces découvertes: Sans contester les mérites de MM. Sépulchre et Lamotte qui ont obtenu des concessions minières à Homécourt et dans le bois d'Avril en 1882, nous devons relever que les recherches faites de 1882 à 1883 le long de la frontière à Crusnes, Serrouville, Sancy, Saint-Pierremont et Avril, n'avaient donné aucun résultat; ce qui a permis à Braconnier de conclure dans son ouvrage, page 290, paragr. 371 : « Terrain suivant la frontière entre Avril et Villerupt. - Le gîte avantageusement exploitable du paragr. 370, découvert par Lamotte, se prolonge-t-il le long de la frontière sur les territoires de Trieux, Sancy et Audun-Ie-Roman? Cela parait fort douteux : les travaux de recherches exécutés près de Sancy semblent avoir donné des résultats absolument négatifs. » Malgré cette conclusion désespérante, mon associé M. Gauche, chef d'escadron d'artillerie, a étudié en 1892, avec moi et un autre ingénieur de mines, la formation ferrugineuse des deux côtés de la frontière franco-allemande, depuis Crusnes jusqu'à Avril, et nous avions ainsi acquis la conviction que les résultats négatifs de 1883 à Saint-Pierremont, Avril et Sancy, ne pouvaient être que le fait d'accidents géologiques purement locaux et nullement susceptibles d'être étendus sur toute la région. Aussi, malgré les railleries de certains maîtres de forges, n'avons-nous pas hésité à sacrifier des sommes considérables aux nombreux sondages que nous avons exécutés. Le succès a répondu à notre attente : nous avons découvert de puissants gisements de mine riche de toute première, qualité, et notre succès a été le point de départ de tous les forages exécutés depuis 1893 jusqu'à ce jour. C'est donc à nous que le pays est redevable de la découverte du nouveau bassin d'entre Moselle-et-Meuse, et nous sommes certains que le service des mines ne contredira pas notre déclaration; il a d'ailleurs bien voulu apprécier à l'époque et notre perspicacité et notre initiative qui ont eu pour conséquence d'ouvrir la voie à une série de recherches fructueuses. Vous priant de vouloir bien publier ma lettre dans votre estimé journal, agréez, Monsieur l'assurance de ma considération très distinguée. Ernest GODCHAUX, Industriel et ingénieur (L'Echo des mines et de la métallurgie - 17.3.1898) |
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1.1911 | Seit Eröffnung der Tiefbauschächte auf der Hochebene von Briey ist die Nachfrage nach Rümelinger Minette flau. Infolgedessen sind die Verkaufspreise im Sinken. Von den kleineren Handelsgruben gingen in den letzten Jahren mehrere in den Besitz der großen Hüttengesellschaften über. Andere neigen ihrem Ende entgegen. In absehbarer Zeit liegt der ganze Minetthandel in Händen der Hüttengesellschaften. Und auch diese Beschränken ihre Ausbeutung auf ein Mindestmaß. Die Escher Minengesellschaft, welche hier im Langengrund 600-700 t täglich förderte, hat die tägliche Ausbeutung auf ca. 100 t reduziert und zwar aus dem Grunde, weil mehrere Mitbeteiligte ihren teilweisen Bedarf aus dem Becken von Briey beziehen. Diese Verschiebung wirkt sehr nachteilig aus unsere Arbeiter, Arbeiterwohnungen, Geschäftshäuser und Geschäftsleute. Zu diesen unangenehmen Verhältnissen tragen die lokalen Verschiebungen, d.h. die Zentralisierung der Betriebe, einen großen Teil bei. ... (LW: 2.1.1911) |
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