Händschefabriken zu Lëtzebuerg
Manufactures de gants au Luxembourg Handschuhfabriken in Luxemburg |
Historique - Geschichtlicher Überblick |
1847 |
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1857 | Liste des ganteries - 1857 (Source: Almanach du Commerce du Grand-Duché de Luxembourg par N.C., 1re année, 1857, Luxembourg, Heintzé Frères, Libraires-Éditeurs; page 28; Collection: famille Aschman-Bodson) |
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1858 | Gründung des "Secours mutuel" durch die Handschuharbeiter | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1862 | Rapport général de la Chambre de commerce du 28 octobre 1862, sur la situation du commerce et de l’industrie dans le Grand-Duché de Luxembourg.
La moindre partie des ouvrières habitent la ville, le plus grand nombre demeurent aux environs, d'autres, plus éloignées habitent les cantons de Remich, de Capellen et même celui de Wiltz. Les travaux des campagnes ont naturellement une grande influence sur le nombre des ouvrières; en hiver le nombre est double de celui de l'été. Le salaire des ouvriers ne peut pas être estimé à moins de fr. 300.000 à 375.000. Les produits s'expédient en Allemagne, en Russie, en Hollande, en Amérique et en Australie. La Belgique et la France, nous sont fermées par des droits d'entrée prohibitifs. Le bon goût de la coupe, la solidité des couleurs, la bonne couture, la force et la souplesse du cuir, valent à nos gants une renommée bien établie et les ont fait distinguer aux expositions de 1851, de 1861 et 1862. MM. Charles et Comp, ont obtenu la grande médaille aux trois expositions, à Londres, à Metz et à Paris. M. Mayer la première médaille à celle de Metz en 1861. (Source : Courrier du Grand-Duché de Luxembourg - 20.11.1862) |
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En 1870, les produits de cette branche de l'industrie nationale ont été constamment recherchés, principalement chez nos fabricants, qui ont porté à un haut
degré de perfection la fabrication de gants de chevreau. Délivrance du Brevet d'invention N° 357, le 28 janvier 1884, à M. Alfred Jacobs,
domicilié à Bruxelles; même représentation ; - pour un mécanisme applicable à toutes machines à coudre les gants et autres articles et
propre à teindre automatiquement les coupes
ou tranches pendant la couture. (Mémorial A - N° 14 / 21.3.1884) |
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b) Réadmission en franchise des gants de peau cousus en Belgique. Par sa lettre du 23 janvier 1901 l'administration des douanes rappelle que, depuis 1893, nos fabricants de gants sont autorisés à réimporter en franchise les gants de peau qui jouissent de l'admission temporaire en Belgique pour y être cousus. Estimant que la maind'œuvre indigène doit s'être développée depuis ce temps, elle demande l'avis de la Chambre de commerce sur la question de savoir s'il n'est pas indiqué de supprimer ce traitement exceptionnel à partir de fin décembre 1903. La Chambre de commerce reconnaît volontiers que la réimportation en franchise d'un article ne doit pas léser le travail national en opposant à celui-ci la concurrence du travail étranger sous le couvert d'un régime douanier spécial. Ce régime n'est pas à recommander, du moment qu'un pays dispose d'une main-d'œuvre suffisamment développée pour satisfaire aux besoins de son industrie. Malheureusement, le Grand-Duché n'offre pas les ressources nécessaires à la ganterie, et les conditions qui lui ont valu, en 1893, ce traitement de faveur, ne se sont pas modifiées depuis. La main-d'œuvre indigène continue d'être insuffisante. Depuis 1893 nos fabricants ont essayé loyalement de former des ouvrières dans le pays même ; ils ont monté des ateliers dans différents endroits, mais les lourds sacrifices qu'ils se sont imposés, ont abouti presque invariablement à des échecs. Dans quelques localités, comme Esch-sur-Sûre et particulièrement Wiltz, la couture des gants a pris racine ; dans les campagnes tous les essais ont échoué : nos jeunes paysannes préfèrent travailler aux champs ou d'entrer en condition. D'ailleurs, le travail qu'elles fournissaient était peu soigné et donnait lieu à des réclamations incessantes. Comme il est impossible de trouver dans le pays même la main-d'œuvre indispensable, l'industrie gantière est forcée de continuer à s'adresser à la Belgique pour y trouver le complément nécessaire. D'autre part, la couture belge est expressément demandée aujourd'hui par la clientèle anglaise qui tirait autrefois ses gants de France et de Belgique. Son abandon entraînerait inévitablement la perte d'une partie de cette clientèle. Aussi la Chambre de commerce s'est-elle prononcée énergiquement en faveur du maintien du régime douanier existant. L'année 1901 n'a guère été plus favorable à l'industrie gantière que l'année précédente, conséquence naturelle de la guerre anglais-boër, l'Angleterre et ses colonies étant devenues, depuis quelque temps, le débouché principal de cette industrie. Notre exportation de gants de peau vers les Etats-Unis a presque complètement cessé, Deux causes ont détermine cette situation : les droits d'entrée exorbitants qui frappent cet article et le développement qu'a pris la production de l'industrie gantière à l'intérieur de ce pays. Par contre, l'exportation vers les Etats-Unis s'est emparée d'une autre branche de la ganterie, les peaux de chevreau mégissées et teintes, toutes préparées pour la coupe, ce qui nous a permis d'atteindre en quelque sorte, pour notre commerce extérieur, le chiffre des années précédentes. A en juger par les résultats de la première année, cette branche de l'exportation ouvre une perspective très encourageante a nos ganteries, les droits d'entrée sur les peaux étant moins élevés que sur les gants tout faits, et cet article parait susceptible de se développer dans l'avenir. Au mois de mai éclata une crise intense qui paralysait jusqu'en octobre la fabrication de gants de peau, déjà languissante à cette époque. La situation était des plus difficiles alors. Malgré des réductions de prix, la clientèle anglaise ne donnait pas. La nécessité de sortir d'une situation critique, qui ne pouvait durer, et de fournir de l'occupation au grand nombre d'ouvriers et d'ouvrières s'imposait impérieusement. C'est alors que, grâce à la création d'une certaine qualité fort bon marché que l'on est convenu d'appeler « gant populaire », une reprise des affaires a pu être provoquée. La main-d'œuvre devenait insuffisante alors et il fallait recruter des ouvriers étrangers pour pouvoir satisfaire aux demandes qui se succédaient avec rapidité. A la faveur de cet heureux revirement, le chiffre de la production s'est trouve dépasser finalement celui de l'année précédente et le personnel a été légèrement augmenté. La production s'est élevée en 1901, à 63.000 douzaines de paires de gants et cette industrie occupait, a la fin de l'exercice, 650 ouvriers et 1.300 ouvrières. (Rapport général sur la Situation de l'Industrie et du Commerce pendant l'année 1901) |
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14.8.1904 | Liste alphabétique des citoyens de la commune de Luxembourg, que la loi appelle à participer à l’élection des membres de la Chambre des Députés ou des membres du Conseil communal. (Collection Charles-Louis Aschman, Luxembourg
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14.8.1904 |
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11.1.1918 | Chilot, Gindorff & Cie Tüchtige Schuster und Schäftestepperinnen (Handschuhnäherinnen) gesucht (t: 11.1.1918) |
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Bibliographie | |||||||
Titel - Titre |
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Die ehemalige Gerberindustrie in der Ortschaft Redingen | Nehrenhausen, Jeannot | 2002 | In: 150e anniversaire Chorale et Harmonie Ste Cécile Redange/Attert : 1852 - 2002 | 223 - 243 |
Liens / Links |
Liederindustrie zu Lëtzebuerg - Industrie du cuir au Luxembourg - Lederindustrie in Luxemburg |
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