Café |
Jacques Breyer Rëmeleng - Rümelingen - Rumelange |
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Familienchronik und Ereignisse |
Quellennachweis |
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Über dieses Café fand der Chronist bis dato nur wenige Informationen.
Im Jahre 1827 wird im Zivilstandregister Kayl, Rümelingen gehörte bis 1891 zu der Gemeinde Kayl, ein Gastwirt mit Namen Jacobus Breyer erwähnt.
In einem offizellen Berich den der damalige Bürgermeister im Jahre 1823 verfassen musste, wird ein Jacques Breyer erwähnt. Es könnte sich hier um diesen Gastwirt handeln. |
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Jacobus (Jacques) Breyer (Breier) |
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Jacobus Breyer * Helmsange, Baptisé le 29.6.1776 Paroisse Steinsel
Sohn von Maria Breier, Vater unbekannt
Beruf: 1803 Taglöhner, 1827 Gastwirt, 1830 Ackersmann
+ 6.6.1830 Rümelingen, act -/1830 Kayl
°° 28. Ventose an 11 ( 19.3.1803 ) Kayl, act 4/1803 mit Catharina Sontag
Catharina Sontag, Baptisée le 13.10.1776 Paroisse Rumelange
Tochter von Pierre Sontag und Margaretha Reding(er)
+ 4.11.1827 Rümelingen, act 13/1827 Kayl
Kinder : (Breyer-Sontag)
Susanna, Baptisée le 16.3.1802 Paroisse Rumelange
+ 5.2.1861 Rümelingen, act 7/1861 Kayl
°° 29.1.1823 Kayl mit Joannes ( Jean ) Berens, act 7/1823
Jean Berens war der Urgroßvater von Léon Berens, Besitzer der „Usines et Minières Berens Rumelange“ |
Kirchenbücher Pfarrei Steinsel, Rümelingen, Zivilstandregister Kayl |
1823 |
Hier der offizielle Bericht den der Bürgermeister im Jahre 1923 verfasste so wie er im Buch „Rümelinger Land und Leute“ von Nicolas Charpantier abgedruck zu lesen ist. L’an mil huit cent vingt-trois le vint-cinq juin Mosieur Jean Berens, maire de la mairie de Kayl, attestant par les présents, que mom sergent appariteur Jean Wagner, de résidence à Rumelange m’a rapporté qu’il a bu hier avec le sieur Philippe Mondoyen, garde-forestier de résidence à Esch, à Rumelange chez Jacques Breyer trois bouteilles de vin, et que de là ils sont allé ensemble vers trois heures et demie de relevée dans le bois communal de Rumelange, et qu’étant parvenus au lieu dit „Schwinkert“, ils s’apperçurent un homme qui prépara un fagot sur la lisière du bois qui sépare la coupe affouagère de l’année courante, à celle destinée pour 1824, et qui était une soixantaine de pas de lui, il nous apperçut, et voulut se sauver, et courir dans le grand bois. Le dit sieur Mondoyen, en se dirigeant vers lui lâcha deux coups de fusil. Après le premier coup il a crié halt, et donna d suite le deuxième lequel en courant le dit Wagner a reconnu être le sieur Jean Kayser manoeuvre à Rumelange. Après il dit au dit Mondoyen comment osez-vous tirer sur un homme, lequel répliqua je ne crois pas l’avoir attrappé puisque mon fusil tire bien. De là ils ont continué leur chemin et au retour dudit Wagner chez lui il alla à la maison du dit Jean Kayser et demanda à sa fille et à son gendre si leur père n’était pas encore de retour, ils répondaient que non, et que pour lors il les invita d’aller voir après lui dans le bois en désignant l’endroit ci-dessus en ajoutant il y a quelques heures que le dit Sr Mondoyen tira deux coups fusil sur lui et qu’il pourrait l’avoir attrappé. De là il est venu chez nous la même déclaration et quelques temps après le gendre du dit Kayser accompagné de quelques autre sont revenus disant qu’ils n’ont pas trouvé. J’ai commandé pour lors le dit Wagner d’aller avec une sixaine d’autres hommes avec une lanterne voir où cet homme est devenu. Lequel Wagner est revenu avec quelques autres, disant qu’ils l’ont trouvé mort une cinquantaine de pas environ de la place où il doit avoir attrapé les coups. Je fis garder le cadavre par quatre hommes et le lendemain vers huit heures du matin je me suis, accompagné de mon secrétaire et du dit Wagner, transporté au dit bois auprès le cadavre, pour mieux pouvoir constater les faits et circonstances du meurtre, et chemin faisant nous avons rencontré le dit Mondoyen, lequel me demanda où allez-vous. Je lui ai répondu nous allons au bois au lieu dit Schwinkert, où il se trouve un homme de tué à coups fusil. Le dit Mondoyen répliqua en tremblant moi j’ai tiré hier sur quelqu’un en cet endroit, mais je ne croyais pas lui faire du mal, s’il est mort je suis malheureux et j’irai de suite à Luxembourg me constituer prisonnier et s’en alla. Nous avons continué notre chemin et de retour chez nous nous avons rédigé le présent procès-verbal en justice avec que de droit.
Témoins sont Jean Wagener, Michel Monceau père, Pierre Kemp, Jean Grimeler.
Fait à Rumelange, le jour et an que dessus.
J. Berens |
Rümelinger Land und Leute, Nicolas Charpantier |
Bibliographie | |||||||
Titel - Titre |
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Claude Hermes | 2.2025 | ||||||
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Rümelinger Land und Leute |
Nicolas Charpantier Couverture: Jules Kayser |
1957 |
Sankt Paulus Druckerei,Luxemburg |
Die Rümelinger Flurnamen und ihre Geschichte |
128 |
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