Verflossenen Donnerstag, als einige Schieferhauer in der Schiefergrube bei Asselborn beschäftigt waren eine Mine an einen großen Felsenblock anzulegen, fiel, wahrscheinlich aus der, wegen der Mine Ziehung verursachten Erschütterung, eine große Menge Steine aus den obersten Schichten des Schieferbruches auf die Arbeiter, welche teilweise unter denselben begraben wurden. Zwei von ihnen haben schwere Verletzungen erlitten; der Eine, N ... Faber aus Ulflingen hat die linke Schulter zerquetscht, und der Andere, X... aus Boxhorn ist mit einigen bedeutenden Contusionen am Rücken davon gekommen. Ein weiteres Unglück haben wir glücklicherweise nicht zu beklagen. Man läßt überall den Wunsch laut werden, der Besitzer der Schiefergrube möge diesen armen, unglücklichen, jetzt zum Arbeiten unfähig gewordenen Familienvätern, bis zu ihrer Herstellung einen genügenden Tagelohn gewähren.

(LW: 25.5.1870)

Rapport du Ministère des travaux publics:

"... les ardoises de Perlé et Wolwelange valent celles de Herbeumont; l'ardoise d'Asselborn est supérieur à Herbeumont et peut concourir avec les produits de Vielsalm."

30 ouvriers

(Rapport sur la situation des Ardoisières du Grand-Duché de Luxembourg de l'année 1885)

Asselborn, 16. Mai. Am gestrigen Nachmittag wurde in der auf hiesigem Banne gelegenen Schiefergrube der 28jährige Arbeiter Michel Laplume von einem von einer Wand niederstürzenden Stein getroffen und bewußtlos zur Erde niedergeworfen. Derselbe erlitt derartige Verletzungen, daß er eine Stunde später den Geist aufgab.

(LW: 17.5.1888)

Tödlicher Unfall in einer Gallerie von Jean Glodt aus Rümelingen (Asselborn) (+ 45 Jahre)

(LW: 12.12.1888)

Dehmeschbach, 27. Juli. Am gestrigen Vormittage waren die Arbeiter Hecker Johann aus Asselborn und Gans Franz aus Belgien in einer auf hiesigem Banne gelegenen Schiefergrube mit Bohren einer Mine beschäftigt, wobei selbe auf eine am vorherigen Tage gemachte Dynamit-Mine, welche ohne ihr Vorwissen nicht abgebrannt war, stießen, in Folge dessen eine Explosion erfolgte und die armen Arbeiter bewußtlos zu Boden niedergeworfen wurden. Hecker trägt bedeutende Verletzungen im Gesichte davon und scheint dessen Zustand gefährlich zu sein; Gans hingegen ist weniger schwer verletzt und steht außer Lebensgefahr.

(LW: 29.7.1889)

Ce n'est que dans les dernières années que l'ardoisière d'Asselborn, située dans une contrée où cette industrie était inconnue antérieurement, est entrée dans la phase d'une exploitation régulière ensuite des travaux de recherche importants qui ont été poursuivis avec activité pendant de longues années.

Son propriétaire, M. Klensch, ingénieur à Luxembourg, y occupait pendant l'armée écoulée de 35-50 ouvriers. La production montait à 1.500.000 ardoises, d'une valeur de 37.500 francs.

Grâce à la nouvelle ligne de chemin de fer allant de Trois-Vierges à Saint-Vith, la dite ardoisière est reliée au coeur de l'Eifel et ses produits y trouveront un nouveau débouché avantageux.

Les travaux d'exploration ont démontré que la couche du schiste ardoisier est d'une puissance excessive, et il résulte d'essais minutieux et comparatifs que, sous le point de vue de la qualité, l'ardoise d'Asselborn peut rivaliser avec la meilleure des ardoises belges, celle de Vielsalm. Aussi les travaux de développement projetés ne tarderont-ils pas à être exécutés.

La création de cette industrie dans le canton de Clervaux procure des ressources importantes à cette partie du pays si déshéritée.

(Rapport général sur la situation de l'Industrie et du Commerce pendant l'année 1889)

Constitution de la société en commandite par actions sous la raison de «Jean-Nicolas Klensch & Cie»

Capital: 350.000 fr

Production: 1.500.000 ardoises
Personnel: 40 ouvriers, qui gagnent 2,5 à 4 Fr par jour
La vente totale des ardoises jusqu'à ce jour s'élève à environ 250.000 fr.

(LW: 12.9.1894)

Constitution de la société anonyme, dite «des ardoisières d'Asselborn» - Anonyme Asselborner Schieferbruch-Gesellschaft

1° M. Jean-Nicolas Klensch, ingénieur ;
2° M. Tony Dutreux, ingénieur, agissant tant en son nom personnel que comme se portant fort pour:
a) M. René-Auguste-Anatole comte de Bertier, propriétaire au château La Grange, Lorraine allemande;
b) M. Maurice Letellier, docteur en droit, demeurant à Luxembourg;
3° M. Joseph Brincour, avocat, agissant tant en son nom personnel que comme se portant fort pour:
a) Mme Marie Huber, son épouse;
b) Mme veuve Jean Huber, née Marie Wahlen, rentière, les deux demeurant à Luxembourg ;
4° M. Pierre Funck, architecte, agissant tant en son nom personnel que comme se portant fort pour :
a) M. Joseph Steichen, conseiller à la Cour supérieure de justice de Luxembourg ;
b) M. Antoine Orban - de Xivry, propriétaire, demeurant à Stavelot ;
c) M. Henri Braunshausen, directeur, demeurant à Saaralbe ;
5° M. Georges Wittenauer, ingénieur ;
6° M. Albert Klensch, directeur d'assurances, agissant tant en son nom personnel que comme se portant fort pour :
a) M. Tony Wenger, comptable, demeurant à Luxembourg ;
b) M. Joseph Heuskin, employé du chemin de fer, demeurant à Wecker ;
c) M. Jean Klensch, rentier ;
d) Mlle Catherine Klensch, rentière, ces deux demeurant à Bettembourg; Tous les comparants demeurant à Luxembourg, à l'exception de M. Dutreux, qui demeure à Paris ;

Lesquels nous ont exposé que suivant acte reçu par le notaire instrumentaire le 22 octobre 1890, il a été formé une société en commandite par actions sous la raison de « J.-N. Klensch & Cie » : Entre M. Jean-Nicolas Klensch, susdit, comme seul associé en nom et indéfiniment responsable, d'une part, et les souscripteurs ou propriétaires d'une ou de plusieurs des actions ci-après créées, comme simples commanditaires, d'autre part, savoir :
1° M. Frédéric Barich, négociant à Winterthur, souscripteur de cinq actions ;
2° M. le comte de Berthier susdit, souscripteur de vingt actions ;
3° M. Braunshausen susdit, souscripteur de deux actions ;
4° M. Brincour susdit, souscripteur de vingt actions ;
5° Mme Brincour susdite, souscripteur de dix actions ;
6° M. Charles Buffet, propriétaire à Wiltz, souscripteur de dix actions ;
7° M. Jean-Pierre Dondelinger, commerçant à Kayl, souscripteur de six actions ;
8° M. Dutreux susdit, souscripteur de soixante actions ;
9° M. Funck susdit, souscripteur de dix actions ;
10° M. Joseph Heuskin, ingénieur à Pétange, souscripteur de cinq actions ;
11° Mme Huber susdite, souscripteur de dix actions ;
12° M. Gustave Keller, docteur en droit, demeurant à Winterthur, souscripteur de trente actions ;
13° MlIe Catherine Klensch susdite, souscripteur de vingt actions ;
14° M. Jean Klensch susdit, souscripteur de cinq actions ;
15° M. Letellier susdit, souscripteur de cinq actions ;
16° M. Ferdinand Schoefer (Schaefer ? ), rentier à Luxembourg, souscripteur de vingt-deux actions ;
17° M. Orban-de Xivry susdit, souscripteur de dix actions ;
18° M. Steichen susdit, souscripteur de vingt actions ;
19° M. Wittenauer susdit, souscripteur de vingt actions ;
20° M. Mathias Zens, ingénieur en chef des chemins de fer départementaux, demeurant à Paris, souscripteur de dix actions ;

Des 700 actions émises, 603 actions se trouvent représentées comme suit ;
1° M. Jean-Nicolas Klensch susdit, représentant 310 actions pour sa personne;
2° M. Tony Dutreux susdit, représentant pour sa personne vingt actions, et comme fondé de pouvoir:
a) de M. de Bertier susdit, quarante actions;
b) de M. Letellier susdit, cinq actions ;
3° M. Brincour susdit, en nom personnel, vingt actions; comme fondé de pouvoir de Mme Brincour susdite, dix actions, et de Mme Huber susdite, dix actions ;
4° M. Pierre Funck susdit, pour sa personne, vingt actions, et comme fondé de pouvoir:
a) de M. Steichen susdit, quatre-vingts actions ;
b) de M. Orban-de Xivry susdit, dix actions ;
c) de M. Braunshausen susdit, deux actions ;
5° M. Georges Wittenauer susdit, pour sa personne, vingt actions ;
6° M. Albert Klensch susdit, pour sa personne, vingt actions, et comme fondé de pouvoir :
a) de M. Tony Wenger, dix actions ;
b) de M. Joseph Heuskin, cinq actions ;
c) de M. Jean Klensch, cinq actions ;
d) de Mlle Catherine Klensch, tous susdits, dix actions.
M. Dondelinger susénoncé a déposé six actions, mais il ne les a pas fait représenter.

Le fonds social est fixé à 500.000 francs et divisé en 1250 actions, de 400 fr. chacune, dont 425 actions resteront à la souche et seront seulement émises, toutes ou en partie, en vertu d'une décision de l'assemblée générale, et dans les conditions à fixer par elle, sans qu'aucune action ne puisse être émise au-dessous du pair.
Les autres 825 actions sont réparties comme il est dit dans l'article suivant.
Le conseil d'administration déterminera la forme de ces titres.

Les porteurs des 700 actions complètement libérées de la société J.-N. Klensch & Cie reçoivent 700 actions de la société anonyme, d'un montant nominal de 400 fr, chacune, entièrement libérées.

Les 125 actions restant encore disponibles sont présentement souscrites ainsi qu'il suit:
1° Jean-Nicolas Klensch susdit, vingt-cinq actions ;
2° Tony Dutreux susdit, treize actions ;
3° Pierre Kihn - Welter, propriétaire à Rumelange, dix-neuf actions ;
4° Jacques Kihn - Klensch, propriétaire et échevin à Rumelange, dix-neuf actions ;
5° Nicolas Stümper, ingénieur-directeur à Dehmeschbach, dix actions ;
6° Mme veuve Jean Huber susdite, et Mme Brincour susdite, six actions ;
7° Joseph Brincour susdit, six actions ;
8° Jean-Pierre Dondelinger susdit, cinq actions ;
9° Comte de Berthier susdit, dix actions ;
10° Georges Wittenauer susdit, cinq actions ;
11° Jean Klensch susdit, deux actions ;
12° Pierre Funck susdit, une action ;
13° Frédéric Barich susdit, une action ;
14e Maurice Letellier susdit, trois actions.

(Mémorial A - N° 44 / 16.7.1896)

Tödlicher Unfall von Nicolas Streveler aus Wincher (+ 18 Jahre). Er fiel in den 50 m tiefen Schacht.

(LW: 30.5.1902)

Personnal: 2 Arbeiter

(LW: 17.1.1905)

Öffentliche Versteigerungen

im Hotel Urbin, Troisvierges

Asselborn, 1. Jan. Vor einigen Tagen fand im Hotel Urbin zu Ulflingen die Versteigerung der hiesigen Schiefergruben statt. Das höchste Angebot (100.000 Mark) wurde von Herrn Angelsberg aus Luxemburg, früher Schiefergrubenbesitzer in Perlé, gemacht. Eine Frist von 14 Tagen ist noch angesetzt, um ein ev. Aufgebot abzuwarten.

(LW: 1.1.1906)

M. Théodore Cornely, directeur des ardoisières d'Asselborn à Troisvierges

Reprise de l'ardoisière par: Charles Donner, ingénieur, Martelange

30.000 Fr

Der Betrieb wird wieder aufgenommen. Es sind 10 Arbeiter aus den umliegenden Ortschaften beschäftigt. Doch soll ihre Zahl bedeutend erhöht werden.

(LW: 4.5.1929)

1937 - Société anonyme des ardoisières R. Donner
Fauvillers (Belgique) - Troisvierges (Luxembourg)

(Dans: L'Avenir de Hollerich IXme fête régionale)

A. G. der Schieferwerke Asselborn (Ulflingen) - Bilanz zum 31. Dezember 1941:
Anlagevermögen: 39.069 Rm
Umlaufvermögen: 67.015,66 Rm
Grundkapital: 45.000 Rm
Gewinnvortrag von 1940: 14.947,07 Rm
Gewinn von 1941: 11.908,28 Rm

Reichsmarkeröffnungsbilanz zum 1. Januar 1942: Anlage- und Umlaufvermögen: 183.365,69 Rm
Grundkapital: 135.000 Rm

Der Aufsichtsrat besteht aus den HH.:
Paul Donner, Ingenieur, Martelingen, Vorsitzer;
Franz Donner, Ingenieur, Brüssel, stellvertr. Vorsitzer;
Georg Dujardin, Ingenieur, Martelingen;
Frau Georg Dujardin, geb. Mariette Kuborn, ohne Stand, Martelingen;
Friedrich Donner, Major der Artillerie i. R., Brüssel;
Moritz Kuborn, Notar, Houffalize.

Alleiniger Vorstand der Gesellschaft: Hr. Heinrich Graff, Direktor in Ulflingen

(LW: 30.10.1942)

Der Erwerb zum Preis von 75.000 EUR eines Teiles der früheren Schiefergrube in Emeschbach wurde bis weit über die Grenzen der Gemeinde hinaus gutgeheissen. Bis jetzt wurden nachweislich weitere 5000 EUR ausgegeben. Es gibt auch genügend interessierte Personen und Einwohner dieser Gemeinde, die sich für dieses Projekt einsetzen und es bleibt zu hoffen, dass es weitergeführt werden kann, wobei bis jetzt eine vorsichtige Vorgehensweise eingesetzt wurde. Dieses Projekt konnte in den fünfjährigen Finanzplan des Tourismusministeriums aufgenommen werden und wird durch staatliche Geldmittel unterstützt werden.
In den vergangenen Jahren wurden mehrere Schiefergruben im nahen Ausland der Öffentlichkeit zugänglich gemacht. Es handelt sich jedenfalls um ein machbares Projekt.

Wëntger Gemengeblad N° 15 - 9.2010