Neelfabriken Clouteries Nagelfabriken |
Hodez Edmond
Biissen - Bissen + Ettelbréck - Ettelbruck - Ettelbrück |
Historique - Geschichtlicher Überblick |
Edmond Hodez (* 18.4. 1862 Verdun / France, + 26.4.1908 à Bissen / Luxembourg à l’âge de 46 ans), époux de Louise Marcelle Aux Cousteaux de Conty (1879 - 1.1955), mariage: 20.4.1898 à Nancy / France
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La famille Edmond Hodez - Louise Marcelle Aux Cousteaux de Conty, avec 6 enfants - ~ juin 1907 (Album de la famille HODEZ) |
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1882 | Edmond Hodez arrive au Luxembourg (LIL: 28.4.1908), venant de Reims Cette date d'arrivée, selon (LIL: 28.4.1908), est-elle correcte? (où s'est-il installé?) |
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1886 | Fondation - Gründung
: Clouterie française Hodez Ed., Ettelbrück (site Moulin Dagois) |
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1886/87 | M. Brézol est arrivé, vers 1886/87 dans le Grand-Duché de Luxembourg pour installer l’usine de M. Hodez à Ettelbruck. |
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Lokomobile G. Kuhn, Stuttgart | |||||
2.3.1887 | Ettelbrück, 3. März 1887. (Unfall.) Am gestrigen Tage, im Laufe des Nachmittags, geriet der in der hiesigen Nagelfabrik Hodez und Spas beschäftigte 14jährige Fainon Johann Peter, Sohn von Joseph Fainon, während seiner Arbeit mit der rechten Hand in die Maschine, infolge dessen der Mittelfinger derselben gänzlich zerquetscht wurde. Der hinzugerufene Arzt mußte, wie der „Landwirt“ berichtet, heute die Amputation desselben vornehmen. (LW: 7.3.1887) Ettelbruck, le 3 mars 1887 (accident). Hier, dans le courant de l'après-midi, Jean-Pierre Fainon, fils de Joseph Fainon, âgé de 14 ans et employé à la clouterie locale Hodez et Spas, s'est pris la main droite dans la machine, ce qui a eu pour conséquence d'écraser complètement le majeur de celle-ci. Le médecin appelé sur place a dû procéder aujourd'hui à l'amputation de ce doigt, comme le rapporte le "Landwirt". (LW : 7.3.1887) |
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22.11.1887 |
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1889 | Clouterie française Hodez Ed., Ettelbrück - Fabrication: Ouvriers: 20 - 25: les cloutiers, pointiers et tréfileurs
sont Français, les ajusteurs et forgerons sont en général
du pays |
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8.1891 |
Médaille en or à MM. Mergen & Hodez à Ettelbruck pour leurs copeaux et laines de bois pour brasseries et vinaigreries (LW: 31.8.1891) |
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1891 |
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10.9.1891? | Fermeture de la Clouterie française Hodez Ed., Ettelbrück - Schließung | ||||
6.10.1891 | Ettelbruck, 6 octobre 1891. Cette nuit un incendie a réduit en cendres la fabrique de clous de M. Hodez. La perte est évaluée à 150.000 francs. (LIL: 9.10.1891) | ||||
10.1891 | Ettelbruck, 26 oct. 1891 - La rumeur publique s’accentue de plus en plus que l’incendie de la fabrique de M. Hodez est dû à la malveillance. De plus on dit qu’une enquête se fait à ce sujet, et que rien ne sera négligé pour donner satisfaction à la conscience publique. (LIL: 27.10.1891) | ||||
9.1892 | Ed. Hodez arrive à Bissen (avant Ettelbrück) (Reprise de la Clouterie May frères ?) |
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2.1893 | Fusion des clouteries Brézol et Hodez à Bissen | ||||
... Les usines de Bissen, sont situées à environ 400 mètres du village sur la rivière l’Attert, qui les alimente d’une force hydraulique utilisable d’environ 100 chevaux. Autrefois, elles servaient à la fabrication du fer. Au bois, il y avait plusieurs feux d’affinerie, un haut-fourneau avec four à chaux, utilisant les gaz, fonderie pour la poterie, platinerie, fabrication d’essieux etc,, inexploitées depuis bon nombre d’années. Les bâtiments qui tombaient en ruines furent acquis avec les terrains attenants par M. Kilbourg, ancien entrepreneur et propriétaire à Colmar-Berg. Une partie des constructions fut rasée, et les matériaux servirent à restaurer celles qui sont utilisées aujourdhui. Le bâtiment principal (la vieille forge), mesurant 18 mètres sur 16, a été aménagé pour la clouterie. Une turbine de 40 chevaux, installée dans un angle du bâtiment à la place de l’ancienne roue des feux d’affinerie, sert à activer les machines au nombre de 60 dont 50 en activité. Ces machines sont disposées sur 4 rangs, avec deux lignes de transmissions principales et transmissions intermédiaires pour les accessoires, meules, tambours, machines-outils, etc., etc. Les 50 machines en activité se composent :
Sur la façade du bâtiment principal, se trouve l’ajustage ou atelier de réparation et construction ; cette annexe renferme 3 tours dont un parallèle, 2 machines à raboter, 1 étau-lime, 1 fourie à colonne et une murale, double forge, petit marteau pilon, meule à émeri, etc. Le côté droit couvert, sert de magasin pour le fer, l’acier. Le côté gauche également couvert, abrite les tambours l’atelier de galvanisation, étamage et le démêlage.
Le tout desservi par un monte-charge automatique. Les bureaux viennent à la suite et se trouvent à proximité du magasin, avec le logement du comptable. Un peu à l’écart un autre bâtiment avec grande cheminée pour le four à recuire de fil de fer, et turbine de 15 chevaux qui va être utilisé comme tréfilerie. Une troisième turbine en construction sera également placée dans le grand bâtiment déjà mentionné et donnera la force supplémentaire nécessaire pour activer les 10 machines au repos et celles en construction. Dernière l’usine se trouve une cité ouvrière, ce qui permet de loger une partie du personnel. Plus loin, deux maisons d’habitation avec jardin et fort bien aménagées servent l’une de demeure de la famille Brézol, l’autre de pied à terre à M. Hodez. L’établissement est exploité par la société et sous raison sociale E. Brézol et Cie avec le titre de "Clouteries franco-luxembourgeoises". Le matériel pour les clous en tôle, semences de tapissiers et autres et partie du matériel pour les pointes, a été cédé par M. Blanchet, beau-frère de M. Brézol, maître de forges à Lille. Autrefois directeur de la clouterie de la forge Nouzon (Capital 600.000 frs.) M. Brézol est le fils et le neveu des Brézol des Ardennes. Les frères Brézol sont les inventeurs des machines à clous; leur premier brevet est daté du 1er avril 1850. Ils sont créateurs de cette industrie ; on leur doit son grand développement tant en France qu’à l’étranger. Les importantes usines de Mohon, St-Marceau, la forge Mohon, la forge Nouzon ont été fondées par eux, comme plusieurs autres en Belgique, Hollande, Allemagne sont dues aussi à leur collaboration. M. Brézol est arrivé, il y a 7 ans environs (donc vers 1886/87) dans le Grand-Duché pour installer l’usine de M. Hodez à Ettelbruck. Cette installation terminée, M. Brézol fit l’acquisition de 10 machines à semences tapissiers, qui furent placées à Bissen. L’usine était louée par moitié avec les frères May, qui eux faisaient le clou des chaussures pour leur compte. Comme chaque jour l’industrie de M. Brézol prenait du développement grâce à une fabrication irréprochable, reconnue supérieure, même par la concurrence, plusieurs machines furent mises en construction, si bien que, lors de la constitution de la société, leur nombre était de 25 c’est-à-dire 15 machines entièrement construites dans les usines de Bissen. Eu égard aux éléments dont il disposait et de l’aveu même d’hommes compétents. M. Brézol a accompli là un véritable tour de force. Seul, sans employé, sans contremaître, menant de front l’instruction du personnel, l’installation de l’usine, la construction des machines, organisant les débouchés, il a débuté avec une vente de 39.000 kilos la première année, 100.000 k. 118.000 k., 120.000 k. et enfin 142.000 k. vendus en moyenne 50 frs. / 100 kilos, la 5e année. C’est en payant de sa personne, toujours sur la brèche, par sa persévérance et ne se laissant, rebuter par aucune difficulté que M. Brézol a obtenu ce résultat. Cette partie constitue donc un bon appoint pour la société et nous souhaitons que M. Brézol puisse continuer la tâche qu’il a, si bien préparée. Nous avons parlé du matériel de M. Hodez ; il a été ramené de Châtel-St-Germain, et quoique les machines aient été atteintes par le feu, leur réfection complète opérée à Bissen, permet d’obtenir un produit parfait pouvant rivaliser avec n’importe lequel similaire, allemand, français ou belge. Non seulement la fabrication est supérieure comme fini, mais le rendement est le double de celui obtenu autrefois à Ettelbruck. La fusion de l’affaire Brézol avec celle de M. Hodez permet d’offrir à la clientèle toute la clouterie général en fer, acier, cuivre, zinc, aluminium. Clous, fil de fer à tiges extra réduites en tous genres. Clous en tôle, fer, cuivre, zinc, semences-bosselles, semences à petites têtes Moravia, pour monter la chaussure, chevilles en fer et cuivre, rondes, carrées et à river. Pointes et clous d’ardoises, pointes fines et petites ferronnerie, clouterie forgée. Plusieurs brevets allemands, belges, français, et luxembourgeois obtenus par M. Brézol sont une garantie de la propriété des machines perfectionnées que la société emploie. La production mensuelle pourra arriver à 30 mêmes 35.0000 kg dans un délai très rapproché. Faisons remarquer que les clous de tôle ne donnent pas de poids puisque certains numéros comptent 1000 clous aux 40 grammes. Les usines de Bissen occupent actuellement 40 ouvriers. Notons en passant, qu’un seul homme avec un gamin peuvent conduire 5 machines à clous tôles et un ouvrier pour 2 machines fil de fer. Le reste du personnel comprend ajusteurs, emballeurs, manœuvres, gamins et gamines. Nous verrions avec plaisir l’installation d’un laminoir à tôle et à fil de fer dans le Grand-Duché pour qui, en dehors de la consommation des quincailleries et autres, l’alimentation des usines de Bissen serait une bonne réserve, étant donné l’accroissement journalier de ces établissements. (LIL: 2.7.1894) |
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12.1894 | Bissen. - La société qui s’était constituée pour l’exploitation de la clouterie de Bissen a été dissoute. (LIL: 8.12.1894) | ||||
1894/95 | Brézol Edouard quitte la clouterie de Bissen | ||||
16.1.1895 | In Bissen gelangte am 16. Januar 1895 das Mobiliar der Nagelfabrik zur Versteigerung. Inbezug auf Maschinen konnte man kein zufriedenstellendes Resultat erlangen und wird dieses Loos am 28. Jan. 1895 wieder versteigert. Meistbietender blieb ein Fabrikbesitzer aus Sachsen, Namens Wolff, mit 40.000 Franken Angebot. Hr. Hodez, Mitbesitzer der Fabrik, steigerte die angefertigten Waren zu 300 Fr. die 1000 Kilos, sowie die Rohmaterialien zum Einkaufspreise an. (OMZ: 22.1.1895) A Bissen, le 16 janvier 1895, le mobilier de la fabrique de clous est mis aux enchères. En ce qui concerne les machines, aucun résultat satisfaisant n'a pu être obtenu et ce lot est à nouveau mis aux enchères le 28 janvier 1895. Le plus offrant est un propriétaire d'usine de Saxe, nommé Wolff, avec une offre de 40.000 francs. M. Hodez, copropriétaire de l'usine, a augmenté les marchandises fabriquées à 300 francs les 1000 kilos, ainsi que les matières premières au prix d'achat. (OMZ : 22.1.1895) |
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1895? | Exploitation de la Ateliers et clouterie mécaniques des Forges de Bissen dans les bâtiments des anciennes forges de Bissen par Hodez et André |
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08.01.1897 |
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6.1899 | Bissen. Notre information de samedi, relative à la vente des immeubles Kilburg de Bissen, est incomplète. Les acquéreurs sont MM. Hodez et André qui exploitaient, depuis plusieurs années déjà (depuis 1895?), une clouterie mécanique dans les bâtiments des anciennes forges; en outre, la vente moyennant 172.500 fr. ne comprend pas seulement l’usine et les habitations, mais encore toute la propriété attenante, soit environ 35 hectares de jardins, prés et bois. Nous souhaitons réussite et prospérité aux nouveaux propiétaires qoi vont pouvoir donner à leur belle industrie toute l’extension qu’elle comporte. (LIL: 27.6.1899) | ||||
06.01.1900 |
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22.02.1901 |
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4.1901 | Bissen, 10 April 1901. Die vergangenes Jahr abgebrannte Nagelfabrik Hodez und Comp. ist nun wieder aufgebaut und bedeutend verbessert worden. Auch soll in nächster Zeit mit der Fabrikation von Hufnägel begonnen werden und sind die hierzu erforderlichen Maschinen bereits angekauft. Ebenfalls werden demnächst 12 weitere Maschinen für Pointes und Schuhnägel in Betrieb gesetzt und ist man momentan mit der Aufstellung derselben beschäftigt. (BBZ: 13.4.1901) Bissen, 10 avril 1901 - La fabrique de clous Hodez et Comp., qui a brûlé l'année dernière, a été reconstruite et considérablement améliorée. La fabrication de clous pour sabots doit commencer prochainement et les machines nécessaires ont déjà été achetées. De même, 12 autres machines pour pointes et clous de chaussures seront prochainement mises en service et leur installation est actuellement en cours. (BBZ : 13.4.1901) |
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Année 1903 | Atelier et clouterie mécaniques des Forges de Bissen. Cet établissement, nous mande-t-on, représente seul, dans le Grand-Duché, l'industrie du clou français importé dans notre pays par MM. Hodez & Cie; il s'accroit tous les ans et sa clientèle, primitivement restreinte au Luxembourg et à l'Alsace-Lorraine, s'étend de plus en plus en Allemagne où ses produits sont également très appréciés. Pour répondre à cette extension croissante de ses affaires, l'établissement vient encore d'augmenter son matériel de clouterie et de compléter l'outillage moderne de son atelier de construction d'où sortent aussi diverses spécialités mécaniques et notamment des régulateurs automoteurs de turbines d'un système breveté dans tous les principaux pays. Après avoir vaillamment traversé la dernière crise métallurgique et supporté les pertes considérables résultant de l'incendie de ses magasins, cette usine entre enfin dans une ère de prospérité qui, d'après les prévisions, ne peut aller que grandissante. Le seul désideratum actuel serait que le nouveau tarif douanier allemand fût appliqué le plus tôt possible afin de mieux protéger, contre les concurrences française et belge, cette industrie qui s'est « naturalisée luxembourgeoise ». (Rapport général sur la situation de l'industrie et du commerce pendant l'année 1903) |
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Année 1904 | Atelier et clouterie mécaniques des Forges de Bissen. Il n'y a rien de particulier à signaler, pour l'année 1904, au sujet de cette industrie toujours en bonne voie de prospérité et d'agrandissement. De nouvelles machines à clous sont continuellement mises en chantier dans l'atelier de construction de l'usine pour pouvoir satisfaire plus rapidement la clientèle qui ne cesse de s'accroître. |
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Année 1905 | Atelier et clouterie mécanique des Forges de Bissen E. Hodez & Cie Cette industrie continue à prospérer et à s'agrandir, ses produits spéciaux étant de plus en plus appréciés sur le marché allemand. Le personnel et l'outillage de l'atelier mécanique ont été considérablement augmentés pour pouvoir pousser plus activement la construction des nouvelles machines. Les ouvriers de la clouterie qui travaillent aux pièces arrivent à des salaires élevés et les payes atteignent actuellement plus du double de ce qu'elles étaient il y a trois ans. Un nouveau matériel vient d'être installé pour le forgeage à chaud des clous à ferrer les chevaux par la méthode norvégienne. Cette fabrication, fort curieuse, qui est conduite par un personnel norvégien, est appelée également à un grand avenir. Toutefois, les bénéfices de l'ensemble ne restent pas proportionnels au chiffre d'affaires progressif, en raison de la hausse toujours croissante des matières premières et de la concurrence étrangère, qui ne permet pas de faire suivre aux produits finis la même marche ascendante. (Rapport général sur la situation de l'industrie et du commerce pendant l'année 1905) |
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Année 1906 | Les ateliers et clouteries mécaniques des Forges de Bissen ne nous signalent rien de spécial dans cette industrie pour l'exercice écoulé durant lequel un bon courant de commandes s'est constamment maintenu dans les divers articles de sa production. La nouvelle branche des clous à ferrer, dont nous signalions la création dans notre précédent rapport, commence à bien se développer également et la marque « Le Centaure » est dès maintenant appréciée par les maréchaux du pays. (Rapport général sur la situation de l'industrie et du commerce pendant l'année 1906) |
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26.4.1908 | Décès de Marie-Paul-Edmond Hodez, industriel à Bissen (LIL: 28.4.1908) Familles Hodez et de Conty |
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Bissen. On nous annonce la mort de M. P.-Edm. Hodez, industriel à Bissen, officier de réserve, et de l’état-major français, décédé à l’âge de 46 ans. Depuis 1882 où le défunt était venu dans le Grand-Duché, il n’a cessé de résider dans le pays, d’abord à Ettelbruck, puis à Bissen, où il a dirigé son usine depuis plus de vingt ans. M. Hodez laisse le souvenir d’un homme aimable, charmant qui ne comptait que des amis. Il sera enterré à Nancy, le 30 avril 1908. (LIL: 28.4.1908) | |||||
13.7.1908 | Wegen Abreise und Sterbefall. Porzellan- und Küchengeschirr, Kochmaschine, verschiedene Küchenschranke, Tische und Stühle. Verschiedene große und Kinder-Bettstellen; Nachtstische. Toilettentische, Matrazen; Kleiderschranke, Tische, Stühle und Lehnstühle (Fauteuils) ; 1 schönen Salontisch aus Palissander; 1 kleinen Tisch (Niptisch mit Marmorplatte. Guéridon); ein Schreibtisch aus Palissander mit Fauteuil; ein Kinder-Schreibpult; 1 Stehpult, kleine Kinder-Tische und -Stühle; Wanduhren. Verschiedene Bücher als: Schulbücher, Literatur, Romane usw. 1 Jagdgewehr, 1 Jagdhorn (Corps de Chasse) ; alte Waffen und Münzen-Sammlungen. Lampen, Suspensionen und Fenstervorhänge, 1 Waschmaschine (Lessiveuse). Rot- und Weißweine in Flaschen, leere Fässer und Flaschen. eiserne Flaschenständer und Flaschenpfropfmaschine; Blumenständer, Blumentöpfe und Cache-pot; Statuetten; Linoleum und andere Teppiche; Fahrräder (Bicyclettes). Mersch. 3. Juli 1908. Alf. Eichhorn. Notar. En raison d'un départ et d'un décès. Vente de mobilier à Bissen. Le lundi 13 juillet 1908, à une heure précise de l'après-midi, Madame veuve Marie Paul Edmond Hodez de Bissen, en son nom personnel et en tant que tutrice de ses enfants, fait vendre aux enchères devant son domicile à Bissen : 1 buffet (panetière), pouvant également servir de secrétaire ; 1 grande et 1 petite châsse et 1 grande table, le tout ancien et richement sculpté. Style Louis XIII. Mobilier de salon (noir poli) ; 1 canapé, 2 fauteuils, 4 chaises, un grand dressoir anciennement lorrain ; un billard et ses accessoires ; des tableaux (gravés et peints) avec cadre ; 1 chaise longue pour le jardin ; service de table, toile de table, 1 buffet pour la salle à manger. Vaisselle en porcelaine et de cuisine, appareil de cuisson, diverses armoires de cuisine, tables et chaises. Différents grands lits et lits pour enfants ; tables de nuit. Tables de toilette, matelas ; armoires, tables, chaises et fauteuils ; 1 belle table de salon en palissandre ; 1 petite table (table basse avec plateau en marbre. Guéridon) ; un bureau en palissandre avec fauteuil ; un écritoire pour enfants ; 1 pupitre, petites tables et chaises pour enfants ; horloges murales. Divers livres comme : Manuels scolaires, littérature, romans, etc. 1 fusil de chasse, 1 cor de chasse; collections d'armes anciennes et de pièces de monnaie. Lampes, suspensions et rideaux de fenêtres, 1 machine à laver (lessiveuse). Vins rouges et blancs en bouteilles, tonneaux et bouteilles vides, porte-bouteilles en fer et greffeuse de bouteilles ; porte-fleur, pots de fleurs et cache-pot ; statuettes ; linoléum et autres tapis ; bicyclettes. 1 calèche (break modifiable), deux beaux harnais de calèche pour un et deux chevaux ; 1 caisse à avoine, etc. Les articles jusqu'à 10 francs sont payables en espèces. Les enchérisseurs inconnus doivent fournir une caution payable. Mersch. 3 juillet 1908. Alph. Eichhorn, notaire. |
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?.?.1908 | Fondation: |
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18.7.1908 | Bissen. Un commencement d’incendie a éclaté samedi matin à la clouterie Hodez et Cie de Bissen. Les flammes ont pu être éteintes rapidement, mais une grande partie de la toiture et des machines ont été détruites. Les pertes assurées s’élèvent à 2.500 francs. Le feu semble avoir pris à côté d’un disque en bois frottant contre l’arbre de transmission. (LIL: 20.7.1908) | ||||
6.7.1909 | Bissen, 6. Juli 1909. (Liquidation). Mit dem heutigen Tage hörte die Firma André & Cie, vormals Hodez und Cie Nägelfabrik hier, aufzubestehen. In einer Versammlung der Gläubiger. die in Luremburg stattfand, wurde die Liquidation auf gütlichem Wege beschlossen. Zu Kuratoren wurden die beiden Rechtsanwälte HH. Loesch und Neumann aus Luxemburg, zum Liquidator Hr. Camille Fautsch aus Diekirch, ernannt. Ein Aufsichtsrat wurde in den HH. Müller, Direktor der AEG - Berlin aus Metz, und Schaeffer, Betriebsführer der Eisenhütte in Diekirch, gewählt. Die Kunde, dass der Betrieb der Fabrik, der durchgängig 80 - 90 Arbeitern einen schönen Verdienst verschaffte, und der seit einiger Zeit schon etwas stockte, nun vollends still steht, ist nicht geeignet freudige Gefühle hier zu erwecken. (LBZ: 8.7.1909) Bissen, le 6 juillet 1909 (liquidation). A partir d'aujourd'hui, la société André & Cie, anciennement Hodez et Cie, clouterie ici, a cessé d'exister. Lors d'une assemblée des créanciers qui s'est tenue à Lurembourg, la liquidation a été décidée à l'amiable. Les deux avocats HH. Loesch et Neumann de Luxembourg, et M. Camille Fautsch de Diekirch, comme liquidateur. Un conseil de surveillance a été créé en la personne de MM. Müller, directeur de l'AEG - Berlin de Metz, et Schaeffer, gérant de la Fonderie de Diekirch. La nouvelle que l'exploitation de l'usine, qui procurait en permanence un bon revenu à 80 - 90 ouvriers, et qui était déjà quelque peu en panne depuis quelque temps, est maintenant complètement arrêtée, n'est pas de nature à éveiller ici des sentiments de joie. (LBZ : 8.7.1909) |
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Suite sous: |
Bibliographie | |||||||
Titel - Titre | |||||||
BISSEN: seit eh und je Band 2 |
Kalmes Victor | 2002 | Gemeindeverwaltung Bissen saint-paul luxembourg |
u.a. Die Eisenhütte |
101-109 295 -392 |
2-87996-939-5 | |
300 Jahre Industrie in Bissen |
Kalmes Victor | 1973 | Gemeindeverwaltung Bissen Nagelfabrik Bissen |
u.a. Die Eisenhütte |
182 |
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Ettelbrück Die Geschichte einer Landschaft |
Flies Joseph | 1970 | Imprimerie Saint-Paul S.A., Luxembourg | ||||
Rapport général sur la Situation de l'Industrie et du Commerce pendant l'année 1889 | 16.2.1891 | Mémorial du Grand-Duché de Luxembourg Memorial des Großherzogthums Luxemburg annexe au No 11 |
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